
La vie est « plus » que ce que nous avons pris l’habitude de croire qu’elle est.
Nous sommes « plus » que ce que nous pensons être.
L’Univers est « plus » que ce que nous en percevons.
Quant à la vie et à la conscience, qui restent des mystères tant pour les sciences que pour les Églises d’aujourd’hui, elles sont les nouveaux terrains d’exploration de l’humanité, nos nouveaux espaces de conquête, nos nouveaux champs du savoir et de la connaissance.
Sur ces différents sujets, une parole est en train de se libérer. Elle est nourrie de sensibilité. Elle se situe au croisement des nouvelles sciences et de la spiritualité.
Elle s’applique à équilibrer les énergies masculines et féminines et laisse beaucoup d’espace à ces dernières tant le féminin a été malmené et muselé ces derniers siècles. Il a du retard à rattraper.
Cette parole nouvelle qui ose aujourd’hui se faire entendre est salutaire : elle est comme le chaînon manquant qui va nous permettre d’entrer véritablement dans une nouvelle ère.
Il est l’heure d’emprunter cette voie, celle de la métamorphose consciente.